Life is beautiful: Kilian Jornet

mercredi 29 août 2012

Kilian Jornet

... correr o morir !

"Correr o morir !"
Kilian jornet

5 commentaires:

Marty a dit…: comme c'est beau !
perdu mes mots dans le sable !
bises Jeff; 1 septembre 2012 à 00:23
Théorème a dit…: La maîtrise de son corps, de l'espace et du milieu, les limites de l'équilibre, la vitesse, rester au ralenti dans les airs, glisser, remonter, gravir, surfer sur la terre, être libre.; 4 septembre 2012 à 22:23
jeff a dit…: Marty,
je ne sais pas pourquoi, mais j'aime beaucoup ces images de "course" dans le sable, au ralenti... une certaine approche de l'homme avec la nature...
Bises ;-)

Théorème,
être libre - pour moi of course - c'est d'abord essayer de donner du bonheur, tenter rendre heureux celles et ceux qu'on aime... ;-)
Ensuite, après ça, je crois qu'on peut se sentir libre, sentiment qui nous transporte et peut nous faire croire que nous sommes plus forts que les éléments de la terre...
Mais pour en arriver à la maîtrise de son corps comme cet athlète d'ultra Trail, c'est toute une passion, un mode de vie... et beaucoup, beaucoup d'entrainement !!!
Bises bises... ;-); 5 septembre 2012 à 16:13
Nath a dit…: Se dépasser et se sentir vivre ! Un homme exceptionnel !; 9 septembre 2012 à 16:30
Burnsville Vacuum Repair a dit…: Nice bblog you have; 12 août 2022 à 07:12

Inscription à : Publier les commentaires (Atom)

Dans la nuit de l'hiver
Galope un grand homme blanc
C'est un bonhomme de neige
Avec une pipe en bois,
Un grand bonhomme de neige
Poursuivi par le froid.
Il arrive au village.
Voyant de la lumière
Le voilà rassuré.
Dans une petite maison
Il entre sans frapper ;
Et pour se réchauffer,
S'assoit sur le poêle rouge,
Et d'un coup disparaît.
Ne laissant que sa pipe
Au milieu d'une flaque d'eau,
Ne laissant que sa pipe,
Et puis son vieux chapeau.

Jacques Prévert
Chanson pour les enfants d'hiver

Et d'un coup disparaît.
Ne laissant que sa pipe
Au milieu d'une flaque d'eau,
Ne laissant que sa pipe,
Et puis son vieux chapeau.

Oublier

Y a ces penseurs blasés
comme du lait caillé
y a ces machos bronzés
avec des filles coincées
y a ces ados largués
qui s'endorment au café
y a tous ces fonctionnaires
qui s'emmerdent même en vacances
y a toutes ces fins de carrière
qui font plus d'expériences.
Oublier…
oublier
Oublier…
J'veux pas m'asphyxier
comme cette ville asthmatique
des soucis plein les bronches
et les piétons qui paniquent
tous ces cœurs qui s'écrasent
comme un pneu dans la vase
oublier
tous ces clins d'œil mouillés
oublier
Oublier…
Cette ville est un piège
les années sont des siècles
tous ces regards des momies
sous des toiles d'araignées
tous ces couples perchés
comme des oiseaux empaillés
qui regardent la fusée
en bouffant d'la purée
Oublier…
Oublier
Oublier…
S'inventer des héros
des amours en plastique
à la sortie des lycées
en f'sant semblant de rien
attendre une fille
comme on attend une permission
oh! j'veux pas me noyer
dans la boue des clichés.
Oublier…
Faut s'méfier d'la mémoire
y a des vieux à vingt ans
et d'venir amnésique
comme on est innocent
amnistier le passé
comme on enlève des bottes
oublier
oublier.
Oublier…
Charlélie Couture

"Il n'y a qu'un pouvoir, qui est militaire. Les autres pouvoirs font rire, et laissent rire.""Il n'y a qu'un pouvoir, qui est militaire. Les autres pouvoirs font rire, et laissent rire.""Il n'y a qu'un pouvoir, qui est militaire. Les autres pouvoirs font rire, et laissent rire."
"Il n'y a qu'un pouvoir, qui est militaire. Les autres pouvoirs font rire, et laissent rire."
"Il n'y a qu'un pouvoir, qui est militaire. Les autres pouvoirs font rire, et laissent rire."

Alain
"Il n'y a qu'un pouvoir, qui est militaire. Les autres pouvoirs font rire, et laissent rire."
"Il n'y a qu'un pouvoir, qui est militaire. Les autres pouvoirs font rire, et laissent rire."